Frédéric Louvosso

Frédéric Louvosso

La diaspora Congolaise peut elle être un atout majeur pour le développement du pays ?

Avant d’abordé cette question, il incombe de définir la notion diaspora Africaine car les africains sont confrontés dans l’ensemble aux mêmes réalités.  Pour l’Union Africaine, la diaspora est décrite comme « les personnes d’origine africaine qui vivent en dehors du continent, quelles que soient leur citoyenneté et leur nationalité, et qui souhaitent contribuer au développement du continent et à la construction de l’Union Africaine »

 

En 1963, Kwame Nkrumah a dit, à la naissance de l’Organisation de l’Union Africaine (OUA), que « toutes les personnes de descendance africaine, qu’elles vivent en Amérique du Nord ou du Sud, dans les Caraïbes ou toute autre partie de ce monde, sont des Africains et appartiennent à la Nation Africaine ». Cette définition beaucoup plus large s’étend à tous les afro-descendant et s’inscrit dans une dynamique panafricaine.

 

Les personnes d’origine Africaine résidant principalement dans le monde occidental joue un rôle de plus en plus important sur le Continent Africain. En effet ces derniers effectuent des transferts de fonds pour aider les familles et des investissements qui sont pour l’instant, principalement dans le secteur immobilier.

 

En 2019, les transferts de fonds de la diaspora selon les premières estimations de la Banque mondiale étaient établis à 85,2 milliards de dollars, environ 12,20% des transferts mondiaux effectués par les migrants.

En 2019, les Congolais de Brazzaville ont rapatrié 1,8 milliards de dollars et générant 0,1% du PIB après les mêmes sources de la Banque mondiale (https://migrationdataportal.org/fr/node/607).

Dans un contexte socio-économique tendu à cause de l’augmentation de la dette interne, des difficultés de négociation avec le FMI, de la pandémie du covid-19, de successions des crises politiques, la diaspora Congolaise pourra-t-elle jouer un rôle important pour soutenir son économie ?

Dans cet article, les axes abordés seront : le tourisme, les investissements et la politique.

 

En moyenne, les Congolais qui retournent régulièrement au pays le font une fois par an. Ces derniers repartent au Congo pour voir la famille, se reposer et visitent le pays. Ces retours favorisent l’entraide familiale sous l’aspect financier, mental et émotionnel, resserrant ainsi les liens familiaux affaiblis par la distance.

 

L’économie locale, en est aussi bénéficiaire car le touriste doit se loger, se déplacer, manger et se divertir et cela ne peut faire que du bien à la situation sociale et économique.

A noter que ces vacanciers en général profitent également d’investir dans l’immobilier pour construire leur résidence principale, créant de l’emploi dans le secteur du bâtiment pendant le séjour.

 

Malheureusement la diaspora est confrontée au prix excessif du billet, ce qui ne les permet pas de rentrer régulièrement. C’est dans ce contexte que l’Etat pourrait encourager ces retours afin de rapatrier les fonds, en baissant les taxes et les redevances des aéroports (notamment celle du carburant). Ces actions pourront avoir un impact direct sur la réduction des prix des billets.

 

Des avantages fiscaux pour les compagnies aérienne et hôtelières pourraient être également une piste à envisager pour baisser les coûts du transport.

 

Pour ceux qui habitent en France, Imaginez-vous un billet à 450 euros ?  Combien de fois allez-vous repartir au pays ? Seriez-vous encore motivé de dépenser votre argent en Europe ?

   

D’une façon plus globale, la question de rapatriement des fonds se pose, c’est-à-dire comment accompagner la diaspora à investir durablement dans tous les secteurs de l’économie.

Aujourd’hui d’après les recommandations du FMI, le Congo se doit de diversifier son économie ; et le secteur primaire peut être porteur de croissance en créant de la richesse sur le territoire, tout en créant de l’emploi et en améliorant les conditions de vie des populations.

 

Pour cela, il est nécessaire que l’Etat Congolais définisse un cadre de travail dans lequel les Banques accompagneront les investisseurs de la diaspora au Congo, car elles pourront en fonction des revenus d’un Congolais de la diaspora, octroyer un crédit destiné à un investissement. 

Un exemple suppose qu’un Congolais ayant un CDI (Contrat à durée Indéterminée en Italie) avec une capacité d’épargne de 100 euros par mois, pourrait par exemple demander un crédit de 10 millions de FCFA pour construire un petit appartement ou investir dans une société agricole.

 

Les Banques pourront également mettre à disposition la possibilité d’acheter des obligations d’Etat (Emprunt a Etat), ce qui pourrait permettre au Congo d’éviter de négocier sans cesse avec des établissements d’emprunts étrangers ou du moins diminuer les sommes empruntées.

Pourquoi endetter notre pays ? Alors qu’il y a des Congolais capables qui sont la ! prêts à aider le pays !

 

D’un point de vue des ressources, la diaspora pourrait également apporter une plus-value en termes de compétences car la grande majorité sont des techniciens et cadres qualifiés, ce qui de façon indiscutable aurait un apport dans le secteur privé mais aussi dans la gestion des services publics.

 

Le transfert des compétences pourrait donc se faire par la diaspora et de cette manière baisser les coûts des sociétés locales et les dépenses de l’Etat, qui pour les grands dossiers fait systématiquement appel à des sociétés étrangères qui coutent très chers au Trésor.

 

Sur le plan politique, je pense qu’il faudrait donner une possibilité à la diaspora de s’exprimer au parlement en enrichissant ainsi la vision de cette instance. Cela permettra aux Congolais de l’étranger de s’impliquer réellement dans la situation politique, économique et sociale. A cet effet, il faudra créer une circonscription des congolais de l’étranger.

 

Tous les points économiques listés ci-dessus ne peuvent être mis en œuvre que si la situation politique est stable et si les Congolais prennent conscience de la nécessité de la construction d’un Etat fort.

Personne ne va investir au pays sachant que la justice n’est pas juste, que la paix n’est pas durable, que la police ne fait pas son travail, etc…Cela pourrait se traduire par la nécessité de d’avoir un climat des affaires stable.

 

Le classement "Doing Business" classe 190 pays par rapport à leur facilité à faire des affaires.

Créé en 2002 par le groupe de la banque mondiale, ce classement mesure la réglementation des affaires et son application effective dans 190 économies et dans certaines villes au niveau infranational et régional.

 

A noter qu’en 2019 le Congo est classé 180ième (https://www.doingbusiness.org/en/rankings) ce qui devrait demander une attention particulière à nos autorités.

 

Malgré les déceptions que nous avons quotidiennement, n’oublions pas que le Congo Brazzaville, c’est notre pays et nous avons le devoir de contribuer à le rendre meilleur pour nous et  les futurs générations.

 

Frédéric Louvosso


23/10/2020
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242: Génération Mbongo 2.0

Dans la communauté Congolaise, les jeunes à un moment donné de leurs vies veulent contribuer à l’amélioration  des conditions de vie de leurs compatriotes. Et Pour cela , Il y a de ceux qui se lancent dans les activités associatives afin de faire des dons qui relèvent du domaine scolaire, vestimentaire, de la santé etc… d’autres préfèrent adhérer à des groupements politiques pour conquérir et exercer le pouvoir.

 

Le point commun entre ces deux groupes est  la construction d’ un projet qui puisse permettre au pays d’avancer. Cet état d’âme est louable car met évidence la générosité des Congolais mais aussi cette volonté  de « changer les choses », car selon eux le pays se porte mal : « il y a pas d’eau, pas de courant, pas d’école, pas de route, pas de travail, pas d’ hôpitaux, etc.. »  et il faut donc agir pour sauver le Congo.

 

Par la même occasion, lorsque le bon Dieu fait grâce et il crée une opportunité pour qu’ils travaillent pour le pays, on retrouve des comportements différents pour ne pas dire contraires à leurs réflexions et leurs analyses de départ.

 

 Ainsi si nous disons que la pensée est à l’origine de l’action, nous comprenons que les jeunes Congolais ne sont pas sincères avec eux même mais aussi avec les autres compatriotes, car comment comprendre qu’ils ne mettent pas en œuvre les projets brillamment exposés pendant la recherche de la lumière.

 

 En effet comment qualifierez-vous, une personne qui dit tous les jours ne pas savoir nager et il participe ensuite à une compétions internationale ?

Mais dans ce contexte, comment pouvons définir la lumière « Congolaise » ? avant de commencer veuillez suivre ce clip :

 


 

 Avoir la lumière Congolaise c’est avoir de l’argent, des belles voitures, des belles maisons, être bien habillé, avoir un bureau : être un chef (Congolais )! Et tout cela devrait se faire sans effort et très rapidement.

 

La génération mbongo 2.0 ...

 

Le jeune Congolais veut donc « chauffer » et la lumière Congolaise est donc le symbole du matériel qu’il doit avoir pour exister dans la société. Le reste ne compte pas !

 

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Adhérer à un groupe politique ou associatif est un moyen pour se distinguer et espérer se faire détecter par «un ange » et briller dans le ciel Congolais. Pour cela, il est donc nécessaire aborder des sujets qui puissent intéresser les membres de la communauté.

 

Les Congolais se battent donc pour atteindre le « sommet » sans jamais réellement se préoccuper des autres compatriotes et pour cela ils mentent et trompent car le seul but c’est d’avoir le Graal.

 

Mais comment pouvons-nous faire avancer le pays si nous ne sommes pas sincères? Comment voulons nous faire avancer le pays si nous sommes égoïstes et on n’a pas d’amour en vers nos compatriotes ?

 

La richesse, la notoriété ne sont pas des problèmes en soi mais pourquoi vouloir user de malice en jouant avec les vies d’autres compatriotes pour arriver à ses fins ?

 

Pour ceux qui liront cet article, je vous pose ces  questions : êtes  vous  vraiment sincère dans ce que vous faites? Faites vous ces efforts pour le bien être des populations ? Chauffer pour vous ça ne sert rien, n'est ce pas ? Tout comme l’argent et les Postes ....

 

  

 


10/07/2018
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Economie durable: Congo Let's go!

 

Le Congo est un pays en développement, inclus dans l'Initiative pays pauvres très endettés (IPPTE).

L'économie congolaise repose principalement sur l'exploitation des hydrocarbures le long de la côte Atlantique ; cette activité représente environ 90 % des exportations du pays avec une production qui est de l'ordre de 240 000 barils par jour.

Le bois représente une part importante des exportations du Congo, dont la surface est couverte de forêts à près de 60 %, pour un total de 21 millions d'hectares. On peut distinguer deux grandes zones d'exploitation forestière, l'une dans le Sud du pays (massifs du Mayombe et du Chaillu), où l'on trouve notamment de l'okoumé et du limba, et l'autre tout à fait au Nord (sapellisipo), notamment autour de la ville de Pokola, centre des activités de la Congolaise industrielle des bois.

La plus grande partie de la production agricole (manioc, fruits et légumes) est consommée localement ; néanmoins, la Société agricole et de raffinage industriel du sucre (SARIS), implantée à Nkayi, dans la Bouenza, commercialise ses produits dans d'autres pays d'Afrique centrale. L'activité industrielle, peu développée, repose sur la production de biens principalement destinés à la consommation locale.

 

Dans le contexte international actuel, les puissances économiques actuelles orientent de plus en plus leurs activités vers le développement durable. Ainsi le Congo Brazzaville peut-il se placer dans ce contexte pour essayer de combler son retard ? En garantissant une vie meilleure à ces citoyens et donc le progrès social ?

 

D’après le rapport Brundtland, le développement durable est défini comme : « le développement qui répond aux besoins du présent sans compromettre la capacité des générations futures à répondre aux leurs ». Le processus vise à concilier l’écologique, l’économique et le social, en établissant une sorte de cercle “vertueux” entre ces trois piliers.

 

Le Congo devra t’il ainsi améliorer la condition de vie de ses populations en respectant l’environnement dans lequel ils se trouvent ?

Pour ma part, j’accorde beaucoup d’importance à la qualité de vie des populations, en effet on peut implanter des infrastructures et des entreprises qui peuvent créer de la croissance (PIB, PNB, IDH etc…), mais tant que cela ne se répercute pas sur la population, il n’y a pas un grand intérêt. C’est pourquoi je place toujours l’homme au centre de développement et non exclusivement des indicateurs macroéconomiques donner tendance du bien-être social dans un pays.  

 

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Le développement durable peut avoir plusieurs avantages pour le Congo :

  • Production de l’énergie « propre » : ce qui peut diminuer la pollution dans des grandes villes (Pointe-Noire et Brazzaville) qui augmente également le risque de maladies cardiovasculaires graves (p. ex., infarctus du myocarde) et le développement de maladies coronarienne
  • Integration rurale : dans plupart de nos villages il n’y a pas d’électricité ; la mise en place de panneaux solaire par exemple peut développer très rapidement l’économie locale et contribuer à diminuer l’exode rural.
  •  Sauvegarde de l’environnement :  toute la planète est concernée par le réchauffement climatique et le Congo n’est pas exempté. A Diosso par exemple en moins de 10ans le niveau de l’océan à ravager les côtes du village.
  • Agriculture biologique : la qualité nutritive des aliments respectant ce type de culture donne une meilleure santé que celles qui utilisent des pesticides pour soutenir la production

 

Pour garantir une économie qui tiennent compte de ces aspects, l’état devra reformer l’éducation nationale, sa politique agricole et industrielle .

 

 

1-EDUCATION

 

Pour soutenir un développement durable, nous allons avoir besoin de ressources compétentes et donc il faudra donc créer des programmes appropriés dans les lycées techniques, des cursus de techniciens supérieurs et créer une école d’ingénieurs.

Un centre de recherche devra être également mis en place pour développer le « know how » dans ce secteur et inventer les technologies qui rendront possible la « croissance verte ».

 

La formation des enseignants est également nécessaire c’est pourquoi dans un premier temps, il faudra travailler avec les partenaires du Congo qui seraient intéressés de nous accompagner dans cette nouvelle direction.

Ensuite il faudra aussi créer une école de formation de ces enseignants ou intégrer dans une structure existante (comme l’école de Mbounda par exemple) un département approprié.

 

 

2- AGRICULTURE

 

Les denrées alimentaires produites doivent respecter des exigences de sûreté alimentaire et de qualité. La gestion des territoires agricoles doit être maîtrisée et partagée. Cette agriculture doit privilégier l’autonomie des agriculteurs, les exploitations à taille humaine, la production pour une consommation locale.

 

Au Congo, nous ne sommes pas encore arrivés une agriculture intensive qui utilise massivement des engrais chimiques et des pesticides responsables de graves pollutions, et privilégie de grandes exploitations au détriment d'exploitations à taille humaine. Mais en même temps nous devons augmenter la production agricole afin de limiter les importations de denrées alimentaires. 

Ainsi je pense que nous devons, encourager la production locale en facilitant l’écoulement des produits de nos agriculteurs et les sensibiliser en même temps sur les techniques d’exploitation qui respectent l’environnement.

 

 

 

3-INDUSTRIE

 

L’industrie devra jouer un rôle important, en effet je pense qu’il va falloir produire les unités de production d’énergie ou aux autres outils pour soutenir ce développement. Je fais allusion aux panneaux solaires, éoliennes etc…

Pour les industries existantes, l’état devra les accompagner afin qu’elles mettent en place des modes de production plus respectueux de l’environnement.

 

Dans ce secteur, il sera question de travailler en partenariat avec les pays amis qui ont la technologie.

Les industries seront implantées dans chaque département du Congo pour permettre à chacun d’avoir une autonomie en ce qui concerne la production et favoriser l’emploi dans la localité.

 

 

CONCLUSION:  

L'état devra un jouer un rôle majeur si nous devons orienter nôtre économie vers l’écologie, cependant il devra également définir une politique pour encourager le secteur privé, qui peut aussi contribuer à améliorer les conditions de vie de toute l’humanité.

 

Frédéric Louvosso


15/05/2018
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Les enjeux de l’opposition en Afrique

Le 4 Novembre 2017 s’est tenue à Paris, au sein de l’enceinte de l’assemblée nationale une conférence enrichissante organisée par l’institut Nelson Mandela ayant pour thème était : « les enjeux de l’opposition en Afrique ».

 

Au cours de cette conférence, j’ai pu retenir que la plupart des oppositions en Afrique ont un seul projet : effectuer alternance politique c’est-à-dire se battre pour assurer le changement de pouvoir sans pourtant se préoccuper des besoins des populations.

 

C’est dans ce contexte que les conférenciers ont mis l’accent sur la nécessité de construire un projet structuré axé sur le développement en vue de réussir la transition démocratique. En Tunisie, par exemple le printemps arabe a permis le départ du dictateur Ben Ali, mais le pays se trouve aujourd’hui dans une situation plus difficile que celle d’avant la révolution. En effet l’opposition s’est retrouvée au pouvoir sans un véritable projet de société et n’arrive donc pas à subvenir aux besoins du peuple.

 

L’opposition doit également jouer rôle dans les institutions de l’état, en effet dans la plupart des constitutions africaines le statut de l’opposition par exemple, n’est pas défini ce qui revient à dire qu’on ne connait pas son rôle et le travail que l’opposition doit fournir d’un point de vue légal. Un autre exemple serait les statuts des hommes ayant occupés les plus hautes fonctions de l’état (ancien chef de l’état, ministre etc…). La définition légale de ces statuts pourrait contribuer à ce que les africains s’accrochent moins au pouvoir et se concentrent sur le travail.

 

La société civile à également un rôle important dans le développement d’un pays, à noter que la société civile une association apolitique, qui s’autofinance et dont le but est de contribuer directement à l’amélioration de vie des populations. C’est dans ce contexte que les diasporas africaines devraient jouer un rôle important en termes de dons, projet d’investissement, transferts de compétence etc…  

 

Ainsi comment ces notions peuvent être utilisées au sein d’un mouvement de jeunesse, pour préparer les futures générations à la conquête et l’exercice du pouvoir ?

 

Dans les différents mouvements de jeunesse affiliés à des partis politique, il existe des conseils nationaux ou comité centraux.  Je pense qu’il faudrait mettre en place des commissions de travail qui auront pour rôle de faire des études et surtout de faire des propositions au sein de la structure dirigeante participant ainsi à la construction d’un projet société.

 

Ainsi pour ceux qui pense que le travail intellectuel, n’est pas instrument efficace et pragmatique pour développer un pays, je réponds en disant que : pour construire une maison, il faut d’abord la penser.

 

C’est pourquoi si nous prenons pas nôtre temps à réfléchir sur l’avenir de nos pays et à nous organiser en conséquence, on ne pourra jamais construire l’Afrique de demain.

 

Si vous lisez cet article, je sais que vous avez de l’espoir pour ce continent et une grande détermination pour que nos populations puissent un jour aspirer à avoir une vie meilleure.

 

 

Institut Nelson Mandela:

https://www.institutmandela.com/

 


06/11/2017
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Congo Uni

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En regardant le clip de patrouille des stars,  qui à pour titre « Congo Uni » dans lequel on met en avant notre richesse culturelle,  issue d’une multitude d’ethnies qui partagent un même territoire, je me suis arrêté un instant pour décrire le Congo que je rêve.

 

Le Congo Brazzaville que j’aimerai voir c’est un pays qui puisse donner à tous ses citoyens la chance de s’épanouir dans son domaine de prédilection.  

 

Un pays où chaque citoyen vit sur son territoire tout en bénéficiant de bonnes conditions de vie.

 

L’amour entre chaque citoyen doit être un élément cardinal qui doit motiver la réussite de chaque Congolais partout où il se trouve.

 

La multitude d’ethnies devrait être un atout plutôt qu’une source de division.

 

Le Congo serait une nation respectée par toutes les autres car se distinguera par ses prouesse socio-économiques, culturelles et sportives.

 

Le Congo jouerait un rôle important dans le défis de ce monde…

 

La question que plusieurs de mes compatriotes se posent, est celle de savoir si tout cela est possible ?

 

Ma réponse est évidement : « OUI !! »  mais cela ne peut pas se faire sans effort, c’est pourquoi il est temps de créer une nouvelle dynamique de construction nationale ou tous les citoyens issus des différents départements du pays puissent d’identifier sur les mêmes valeurs.

 

L’unité est importante car sans elle, nous ne pourrons pas avancer à grand pas, d’où la nécessité que les Congolais puissent s’éveiller et s'orienter vers l’amour de son prochain, l’amour vers son compatriote pour construire ensemble cette nouvelle nation.

 

Faudra t- il passer un pacte républicain entre les forces vives de la nation pour pouvoir y arriver?

 

La question mérite d’être posée encore faut-il que nous puissions avoir envie.

 

Pour terminer, je recommande de voir ce clip et de voir comment plusieurs ethnies peuvent ensemble mettre en valeur la beauté de mon pays, le Congo :)

 

 

 

 

 

 


10/08/2017
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Elections législatives à B/Z : La jeunesse peut elle éclairer la vie des Congolais?

 

D'après ce qui semble se dessiner, il y aura bientôt les élections législatives au Congo Brazzaville. En effet plusieurs potentiels candidats se préparent pour ces échéances électorales même s’il faut noter, qu’aucune date n’a été annoncée par le gouvernement de la république.

Dans cette dynamique, on retrouve de plus en plus de candidats issus des mouvements de jeunesse de tous les partis, ce qui montre une réelle volonté de rajeunir la classe politique Congolaise.

En effet la jeunesse peut apporter su sein du parlement une nouvelle vision car rappelons-le, le Congo est un pays essentiellement jeune et donc par ce renouvellement, on pourrait mieux représenter les intérêts de nos populations.

Ainsi je salue et je soutiens tous les jeunes candidats aux élections législatives !

Par la même occasion, je constate pour l’instant qu’aucun de ces jeunes candidats n’abordent des sujets de société qui pourraient donner de la matière aux électeurs.

Je permets de parler d’un sujet que je trouve primordial : l’éducation nationale. Il serait d’ailleurs très intéressant que tous les candidats s’expriment sur ce sujet, en faisant des propositions claires sur les points suivants :

  • Programme scolaire : je trouve en effet que nos programmes et nos formations ne sont plus adaptés aux besoins de l’état mais aussi ceux de la mondialisation
  • Etablissements scolaire : en 2017, il est inacceptable que nos établissements ne soient pas dignes de donner un apprentissage dans environnement adéquat
  • Conditions de nos enseignants : il est important que les fonctionnaires travaillent dans des bonnes conditions tout en bénéficiant des revenus les permettant d’avoir un bon niveau de vie.
  • Niveau d’apprentissage : le niveau de nos élèves ne fait que baisser, il serait souhaitable de définir la stratégie pour élever le niveau
  • Aides sociales : les familles modestes n’ont pas les moyens pour soutenir leurs enfants et il faudrait la aussi les aider.

Le pilier du développement se trouve dans l’éducation,  c’est pourquoi jeunes Congolais candidats aux élections législatives  nous attendons de point ferme vos propositions qui pourront, je l’espère éclairées la vie des Congolais.

 

  


07/05/2017
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Le retour des immigrés, une chance pour l'Afrique?

En Europe et en Amériques du nord, on retrouve plusieurs africains d’origine différentes à cause des raisons qui sont d’ordre universitaire, économique, sociale, politique etc.

En effet ces africains partent vers l’occident qui est perçu comme une opportunité pour les garantir un avenir meilleur. L’immigration prend donc ses sources dans le fait que les états Africains sont incapables de proposer des alternatives crédibles aux difficultés de ses populations, mais aussi à définir un cadre de vie pouvant les permettre de s’épanouir sur tous les plans (universitaire, professionnel., culturel, etc…).

 

La majorité de ces Africains sortis du pays contribuent par leurs compétences, leur énergie aux développements des pays du Nord au détriment du continent Africain.  Ainsi est-il possible d’imaginer leur retour ? Peuvent-ils contribuer positivement à l’amélioration des conditions de leurs frères ? Les états doivent ils accompagner le retour des cerveaux africains ?

 

En Afrique centrale, le FMI a demandé aux pays de la CEMAC l’adoption d’une politique d’austérité qui aura inévitablement des répercussions sur le plan social car pour renflouer les caisses du trésor public, les états seront obligés de diminuer ses dépenses mais aussi d’augmenter les taxes et les impôts. Cette situation provoquera donc une inflation des denrées alimentaires, des transports et des produits de première nécessité.

Pour faire des économies, les états Africains devraient donc se munir d’outils performants pour diminuer les dépenses, augmenter l’efficacité et les performances des services de l’état et de lutter contre la mauvaise gestion.

 

Au sein de la diaspora, il y a plusieurs cadres ayant des profils différents et conforme à ces besoins, qui peuvent par leur expérience mettre en œuvre des procédés pour y remédier.

 

En effet les cadres Africains évoluant en Europe et en Amérique du nord, qui sont des zones géographiques où on retrouve les pays le plus développés du monde, ont bénéficié du savoir-faire entendu comme méthodologie, compétence, efficacité, performance de ces pays. Savoir qui ne se trouve malhreusement pas dans la majorité des pays Africains ce qui explique en partie l’enracinement du sous-développement.

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Pour étayer la thèse selon laquelle la diaspora peut avoir un apport, on évoquera deux « use case » pour montrer comment cela est possible.

 

Pour faire des économies on devra réduire massivement des détournements de fond et pour cela il faut minimiser les transactions CASH et favoriser d’autres moyens de paiements au sein de la fonction publique. Cela est possible en faisant usage de ce qu’on appelle : les plateformes d’échange de flux qu’on pourrait installer au sein des différentes institutions de l’état.

 

Dans ce cas, il y a plusieurs africains qui ont travaillé dans les grands groupes et qui sont : économiste, RH, comptable, chef de projet, intégrateur, développeur (IT), etc. et sont capable mettre œuvre ce besoin.

 

Pour augmenter les revenus de l’état, il faudra mettre en place une fiscalité efficace car trop augmenter les impôts peut avoir un effet inverse c’est à dire diminuer les recettes fiscales.  Il faudrait en même temps des mécanismes pour inciter les entrepreneurs à investir dans les moments les plus difficiles.

Tout cela n’est possible que s’il y a une véritable volonté de la classe politique se caractérisant par la mise en place de dispositions pour que ces cerveaux africains rentrent au pays mais aussi pour attirer leur argent.

 

Pour attirer les capitaux dans les pays d’origine, je propose la mise e place d’une banque d’investissement qui sera implanté dans les pays du nord et le but sera d’accorder des crédits pour investir dans les pays Africains.

On pourrait par exemple envisager que si on souhaite construire un logement, la banque nous accorde un crédit. Cela permettra de favoriser le retour au pays mais aussi de créer de l’emploi et donc des recettes fiscales.

 

Dans le scénario indiqué ci-dessus, on devra inciter les africains à devenir les premiers investisseurs.

Pour encourager le retour des cerveaux, il faudrait essentiellement les garantir un cadre de vie et de travail, équivalent à celui qu’ils ont dans les pays du nord. Pour cela je pense qu’il faudrait les mettre à disposition des logements et un salaire qui les permettent de conserver ce cadre de vie.

 

D’un point de vue technique, il faudrait soit responsabiliser d’avantage le ministère des affaires étrangère ou créer un ministère de la diaspora dont le but sera de collecter toutes les intelligences des Africains résidant à l’étranger.

 

Pour rappel, tout cela n’est possible que si les responsables politiques veulent vraiment créer une dynamique de progrès au sein de ces états. Mais la question est celle de savoir, voulons-nous vraiment le développement ? voulons-nous vraiment le changement ? Sommes-nous vraiment prêts à modifier nos comportements ?

 

 

 

 

 

 


03/05/2017
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Franc CFA: Faut il changer de monnaie?

Depuis plusieurs jours, le débat autour du Franc CFA est de plus en plus présent sur la scène médiatique. En effet plusieurs cadres Africains pensent qu’il est nécessaire d’« abolir » cette monnaie, qui nous lie étroitement à la France.

 

Aujourd’hui le franc CFA a une parité fixe avec l’euro et les pays de la zone franc ont l’obligation de déposer 50 % de leurs réserves de change auprès du Trésor public Français.

 

Selon un rapport de la zone franc, la BEAC et la BCEAO, les deux banques centrales de la zone CFA, disposaient en 2005 de plus de 3 600 milliards de francs CFA (environ 72 milliards d’euros) auprès du Trésor Français.

 Il ne serait pas non plus étonnant de la part de la France de prêter cet argent aux états Africains en guise d’aide au développement avec un taux très élevé.

A noter donc que ces capitaux que les états africains placent sur les comptes du trésor public Français pourraient être utilisés pour financer les économies africaines et améliorer les conditions de vie des populations. Le placement des fonds sur les comptes du trésor Français représente donc un frein pour la croissance économique du continent.

 

Cette situation pose donc le problème de souveraineté nationale c’est-à-dire est-il important pour un état de se doter d’une banque centrale pour gérer les flux d’argent de la nation ? L’économiste Babissakana répond à cette question en ces termes :

« Un Etat moderne n'existe pas sans sa banque centrale. C'est un attribut de souveraineté existentiel comme le territoire, la population, l'armée et le trésor public. Pour chaque Etat, la banque centrale est l'institution publique chargée de la politique monétaire qui consiste à fournir de manière adéquate les flux d'argent et de crédit dans l'économie de la nation. C'est une institution qui est donc au cœur même de l'existence d'un Etat, de sa souveraineté, de sa performance, de sa puissance et donc des conditions de vie ou du bien-être de sa population »

 

C’est sur cette base que je pense qu’il est important les pays de la Zone CFA puissent avoir une indépendance monétaire pour mieux gérer leurs économies et garantir un taux de croissance économique plus important pour en faire bénéficier aux populations.

Mais par la même occasion, je pose la question suivante : le changement de monnaie doit-elle vraiment être la priorité des 14 états africains ? Est-ce le CFA qui nous empêche de mettre en œuvre les politiques pour améliorer la vie de nos populations ? Comment se fait-il que dans les pays comme la Guinée, La RDC, l’Angola qui n’ont pas de CFA, les populations vivent toujours dans la misère ? Sommes-nous sure que si nous changeons de monnaie, on pourra maitriser le taux de change ? Et ne pas plonger nos peuples dans des difficultés insurmontables ?

 

Pour ma part, je pense que si aujourd’hui dans ces pays on n’arrive même pas à gérer les fonds publiques, si on n’arrive pas à assurer le bienêtre de nos populations en les garantissant une formation viable, un travail, une bonne santé, ce ne sera pas la monnaie qu’on pourra maitriser.

Je ne m’étonnerai pas d’ailleurs qu’on puisse imprimer à foison et de façon régulière des billets de banque pour subvenir à certains besoins de luxe sans tenir compte des conséquences catastrophiques que ces comportements pourraient impliquer.

 

Ainsi avant de penser au changement de monnaie, il est important que ne puissions fédérer nos énergies dans la construction des états « forts » qui puissent garantir à ces citoyens  des chances pour aspirer au bonheur  tout en ayant des droits et des devoirs.

 

C’est dans ce contexte que la bonne gouvernance doit être une des priorités des états Africain pour  garantir une égalité des chances, la paix et la justice sociale qui sont des clés du nécessaire au développement  car ce sont des valeurs qui  permettent aux citoyens de s’émanciper et de contribuer significativement à la construction de la nation.

 

C’est dans ce contexte que le président Américain Obama en s’exprimant sur la situation politique africaine a dit 

 

« Maintenant, pour réaliser cette promesse, nous devons tout d'abord reconnaître une vérité fondamentale à laquelle vous avez donné vie au Ghana, à savoir que le développement dépend de la bonne gouvernance. C'est l'ingrédient qui fait défaut dans beaucoup trop de pays depuis bien trop longtemps. C'est le changement qui peut déverrouiller les potentialités de l'Afrique. Enfin, c'est une responsabilité dont seuls les Africains peuvent s'acquitter…

En ce XXIe siècle, des institutions capables, fiables et transparentes sont la clé du succès - des parlements puissants et des forces de police honnêtes ; des juges et des journalistes indépendants ; un secteur privé et une société civile florissants, ainsi qu'une presse indépendante. Tels sont les éléments qui donnent vie à la démocratie, parce que c'est ce qui compte dans la vie quotidienne des gens ».

 

 

La monnaie est donc un instrument fondamental pour garantir la souveraineté national d’un état via des institutions publiques comme les banques centrales, pourvu que ces mêmes institutions soient dotées en mesure de faire montre d’une bonne gouvernance pour que les citoyens puissent en tirer profit.

 


21/02/2017
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Un mot sur la paix

 

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La paix est un état intérieur qui nous permet de nous guider vers le bonheur. Le plus souvent dans nos pays lorsqu'on parle de la paix, on fait allusion à la situation sécuritaire.

 

En effet, lorsque les citoyens circulent librement sans qu'ils aient des inquiétudes particulières, cet état intérieur que nous appelons:la paix, est préservé.

 

Mais pouvons nous dire la même chose lorsque les mêmes citoyens ne mangent pas? ne travaillent pas? n'ont pas les moyens de subvenir aux besoins de leurs proches? Ces citoyens peuvent-ils vivre en paix?

 

Mes chers amis,


je pense  que pour garantir la paix aux citoyens, il faut tenir compte de l'aspect social  c'est pourquoi un Etat doit avoir des politiques qui permettent à ces derniers de faire des choix libres pour espérer avoir une vie meilleure.

Après cette assertion, on pourrait dire que la paix doit être recherchée exclusivement à l’extérieure de nous et de notre être(via des structures externes) et que si certaines conditions ne sont pas respectées, on ne peut pas bénéficier de ses avantages (la paix).

 

Su ce sujet, je pense que la démarche pour accéder à cet état de conscience est strictement personnelle  et ne doit pas être  recherché chez autrui  mais plutôt dans notre fort intérieur.

 

Mais Quelle démarche pouvons nous suivre pour la percevoir?

 

Aujourd’hui,  j'évoquerai un point qui est d'ailleurs inscrit dans la bible:Ne jugez Point!

 

Nous aimons toujours reporter les fautes chez les autres : les autres ont toujours tort ! ils sont mauvais, ils comprennent rien....

Pourquoi mettre autant d'attention sur autrui?

 

Et pourtant lorsqu' on se sent bien, on ne s'occupe pas des autres, n'est ce pas?

 

En ayant cette attitude, qui consiste à démontrer tout le temps que nous sommes mieux que les autres, je pense qu'on met en évidence le fait qu'on a pas confiance en nous et donc on ressent de la peur.

 

Le fait d'éviter de juger les autres,nous permet de se recentrer sur nous et de prendre conscience du grand potentiel que nous avons tous! Et qui nous guidera dans notre vie en nous faisant emprunter le bon chemin.

 

Essayez donc de prendre 10 minutes et de sortir de vôtre mental toutes les idées de jugement sur autrui. Vous ressentirez de tranquillité, une sensation de joie immense, d'inspiration etc...

 

Que la paix soit avec vous!


24/01/2017
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Compétir sans Intelligence : Yes,We Can!

Dans un pays normal, lorsqu’on est malade, on part se faire consulter chez un médecin et non pas chez un plombier.

 

Dans un pays normal, lorsqu’une voiture est en panne on part chez un mécanicien et non pas chez un chasseur ! Jusque-là, je pense que nous sommes tous d’accord !

 

Mais pourquoi dans la plupart des institutions des Etats Africains, on retrouve que des profils qui n’ont pas des compétences ? Pourquoi on ne retrouve pas, ce qu’on appelle des politologues, qui ont une formation obtenue dans une école de sciences politiques ou politique internationale.

 

En Afrique, dans la plupart des cabinets présidentiels, ministériels, partis et associations politiques, etc … on retrouve que des profils « à peu près » qui n’ont pas eu une formation les permettant d’assurer leurs fonctions.  

Mais comment pouvons-nous développer ces pays si nous n’avons pas les compétences ? Selon vous, pouvons-nous soigner une personne malade avec les compétences d’un chasseur ?   

Par la même occasion, quelle définition pouvons-nous donner aux sciences politiques ?

 

Sur le site des « des politologues du Congo », j’ai trouvé une excellente définition :

« Les sciences politiques cherchent à comprendre les mécanismes de pouvoir, l'influence et les rouages des acteurs du monde politique. Elles analysent le fonctionnement des institutions de l'Etat et des groupes en compétition pour orienter sa conduite ainsi que le décodage des attitudes citoyennes. La vie internationale est également étudiée à travers les politiques étrangères des Etats, la géopolitique des crises et des conflits, les phénomènes de mondialisation et d'intégration européenne ou l'action humanitaire des ONG. L'action publique fait aussi partie de l'objet d'étude, qu'il s'agisse par exemple de la relation entre l'administration et le citoyen, l'évaluation des politiques publiques ou encore des règles en matière de bonne gouvernance.

 

Donc, de par sa fonction, le professionnel des sciences politiques étudie, comprend et éventuellement analyse le monde dans lequel il vit. Il repère les contraintes qui pèsent sur les décisions collectives et agit sur ce monde de manière rationnelle, efficace et juste. »

 

Il peut donc assumer plusieurs fonctions : Assistant administratif communal, Attaché parlementaire ou secrétaire d'un groupe politique, Chercheur, Diplomate, Géopoliticien, Journaliste politique, Lobbyiste, Politologue.

 

Ainsi, il est donc important que les états, les partis politiques, associations, etc … puissent s’entourer des compétences nécessaires pour bien gérer leurs activités.

Malheureusement dans nos pays, on préfère « le copinage » au détriment des compétences ce qui constitue un frein non négligeable pour l’avancement de nos états.

Il est tout de même important de noter que nous avons un déficit de cadre dans ce secteur. C’est pourquoi il faudra acquérir les compétences nécessaires pour prétendre compétir avec les autres...

 

Frédéric Louvosso


17/11/2016
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